Né le 14 Février 1946 à Trébas dans le Tarn, cet ancien pompier professionnel d’Albi, a fait ses premiers pas en peinture et en sculpture dans des expositions de groupe dès le début des années 1970.
Autodidacte, il a cette fibre artistique, il le sait et grandit avec mais ne sait comment exprimer ce qu’il ressent et surtout sur quel support doit-il représenter ses sensations, cette force qui le submerge ? Il s’essaye au dessin, à la peinture, passant du pastel à l’acrylique continuant par l’aquarelle, l’huile, … Il tente tout, et tout lui réussit! Les prix se succèdent. Ses prix et sa notoriété, il en est fier, mais il ne compte pas s’en tenir à ça! Il lui manque quelque chose, un rêve qu’il n’a pas encore réussi à exaucer. Il se lance dans la sculpture en tout genre, mais c’est en tâtant le fer, le métal, en le travaillant à chaud, en le modelant entre ses doigts, qu’il prend un plaisir fou. Ce plaisir qui a comme un goût d’enfance, celui du souvenir du « Maître » improvisé, son propre grand-père qui était forgeron.
Rapidement, son travail retient l’attention de tous, il reçoit notamment de nombreux prix dans les plus grands salons régionaux.
C’est dans les années 1980 que le talent de Casimir Ferrer rencontre un tel succès qu’il est, aujourd’hui , reconnu et apprécié à une échelle internationale. Aujourd’hui, Casimir Ferrer, dont les oeuvres sont cotées chez Art-Price, est représenté par une quinzaine de galeries, en France et à l’étranger,et par plusieurs courtiers internationaux.
Valérie Aurousseau, artiste peintre sanfloraine, a rencontré le talentueux Casimir dans son antre albigeoise. Grâce à cette entrevue, la galerie Duo va recevoir au cours de l’été 2020 plusieurs oeuvres de l’artiste. Jean-Claude Castagna juge que ce sera un nouveau bond en avant pour la jeune galerie sanfloraine.